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MessageSujet: Histoire suite   Histoire suite EmptyMar 6 Nov - 15:57

Cela dit, aujourd'hui, même dans les communes les plus «reculées», il est à peu près impossible de ne pas pratiquer le français de façon quotidienne. Regarder la télé, écouter la radio, lire la presse, effectuer des achats, aller chez le médecin, ce sont là des activités quotidiennes qui se font majoritairement, voire exclusivement en français. Il existe encore des personnes très âgées ne parlant que le créole, mais elles font l'objet de remarques amusées ou étonnées lorsqu'il est possible de rencontrer ces représentants d'une époque révolue, qui se comptent aujourd'hui par quelques dizaines. Par ailleurs, certains Martiniquais, surtout des Mulâtres élevés «à la métropolitaine», s'amusent à parler un mélange de créole et de français, qui ne ressemble pas à grand-chose et qui est popularisé à la radio par des présentateurs (notamment sur NRJ) essayant en vain de parler une forme de language qu'ils ne maîtrisent pas.

Quant à la population blanche, elle demeure très minoritaire (9 %) et se partage, d’une part, entre les Blancs-Pays ou Békés — les descendants des premiers colons français — parlant le français et généralement aussi le créole, et, d’autre part, les Blancs-France, c’est-à-dire les Métropolitains résidant en Martinique pour la durée d’un contrat (généralement de trois ans), qui ne parlent que le français métropolitain.

Ceux qu’on appelle les Békés — mot provenant de «Blancs du quai» parce qu’ils s’y trouvaient autrefois en train de vérifier leurs marchandises — forment une petite communauté d’environ 2000 à 3000 personnes qui se croient propriétaires de la Martinique et qui contrôlent à peu près toute l’économie de l’île, notamment dans les marchés d’alimentation à grande surface et l’hôtellerie d’affaires; ils possèderaient, en fait, plus de 50 % des richesses de l’île. Les Békés parlent le «français des îles», c'est-à-dire une forme de «français de France» hormis quelques expressions typiquement locales et un accent particulier et généralement le créole (ils le comprennent tous).

Quant aux Métros, on les appelle Bancs-France ou Zoreilles. Comme à l’île de La Réunion, les Métropolitains sont surnommés Zoreilles parce que, d’une part, comprenant mal le créole, ils feraient constamment répéter et passeraient ainsi pour être «durs d'oreille», d’autre part, parce qu’ils seraient en Martinique pour «tout surveiller». Les Métros comptent quelques milliers de fonctionnaires dépêchés par Paris en Martinique et ils occupent la plupart des postes de direction dans le secteur public et parapublic. Répétons-le, ils ne parlent généralement que le français métropolitain.

Les deux communautés blanches vivent encore en marge de la population noire, mais les Békés auraient conservé un complexe de supériorité tant à l'égard des Métropolitains qu'à l'égard des Noirs; rappelons que les Békés ont des origines aristocratiques. Quant aux Noirs et aux descendants des immigrants indiens, ils occupaient traditionnellement des emplois d’ouvriers agricoles ou des emplois de services, alors que les plus instruits d'entre eux, notamment les Mulâtres, accaparaient divers postes de l’administration publique et de la politique locale. Toutefois, la situation est en train de changer depuis au moins une décennie et les emplois sont moins compartimentés qu'auparavant entre Blancs, Mulâtres et Noirs. Toutefois, il y a encore des Noirs qui considèrent les Blancs martiniquais comme «sales Békés esclavagistes».

3 Données historiques
L’histoire de la Martinique est liée à celle des Antilles, donc à la colonisation européenne et à l’esclavage pratiqué durant deux siècles par les Espagnols, les Anglais, les Français et les Hollandais. Néanmoins, la présence humaine aux Antilles s’est manifestée bien avant l’arrivée des Européens. Ainsi, des archéologues ont trouvé en Martinique et dans le reste des Antilles des outils en pierre dont l’appartenance est attribuée aux Amérindiens, leur ancienneté étant estimée entre 3000 à 3500 ans. En réalité, l'histoire connue de l’île commença quelque 1500 ans avant Christophe Colomb quand s'y installèrent les Amérindiens arawaks originaires des côtes vénézuéliennes.

3.1 Les premiers occupants amérindiens

Les premiers occupants connus semblent être les Arawaks venus du Venezuela vers 300 ou 400 ans avant notre ère. En 295 (avant notre ère), une éruption de la montagne Pelée fit fuir les Arawaks qui quittèrent alors la Martinique et ne revinrent sur l’île que vers l’an 400. D’ailleurs, une soixantaine de sites arawaks ont aujourd’hui été inventoriés et ils témoignent de l'existence de villages habités arawaks.

Cependant, vers 1200 de notre ère, une nouvelle civilisation amérindienne apparut dans l’île: les Caraïbes ou Kalina. Il s’agit d’un peuple amérindien réputé belliqueux venu des Guyanes et qui envahit la Martinique et extermina peu à peu tous les Arawaks (sauf les femmes). Les Caraïbes furent décimés à leur tour peu après l’arrivée des Européens.

3.2 Le bref passage de Christophe Colomb

Lorsque Christophe Colomb débarqua en Martinique, le 15 juin 1502 (lors de son quatrième voyage), il fit la connaissance des Caraïbes puisque les Arawaks avaient déjà disparu depuis le XIIIe siècle. Les Amérindiens auraient appelé l’île Madinina, ce qui signifie «l'île aux fleurs». Colomb aurait baptisé l’île du nom de Martinique en l’honneur de son patron, saint Martin. Redoutant les terribles Caraïbes pour leur anthropophagie, Colomb quitta l’île et, par la suite, les Espagnols ne s’intéressèrent plus à la Martinique. Ainsi, ils laissèrent la place aux Français et aux Anglais.

3.3 La colonisation française

Le cardinal de Richelieu, au nom du roi Louis XIII, créa la Compagnie des Isles d’Amérique (1635-1650) afin de coloniser les îles des Petites Antilles. La véritable conquête de la Martinique commença avec l’arrivée d’un aventurier français, Pierre Belain d’Esnambuc, le 15 septembre 1635. En 1550, la canne à sucre était déjà devenue la seule culture des îles aux Antilles.

Les premiers contacts entre les Amérindiens caraïbes et les Français avaient été plutôt cordiaux, mais à force d’être progressivement spoliés de leurs terres les Caraïbes opposèrent une vive résistance aux Français. Puis, après plusieurs années de conflits, tant avec les Anglais qu’avec les Caraïbes, les Français sous la gouverne de Beausoleil finirent par chasser définitivement (en 1658) les Caraïbes de la Martinique; ces derniers se réfugièrent dans les îles de la Dominique et de Saint-Vincent.

3.4 La traite des esclaves

Pendant deux siècles, la Martinique, comme d’ailleurs toutes les autres Antilles, vécut sous le règne de l’esclavage. On sait que ce sont les Espagnols qui avaient commencé à importer des Africains dans leurs colonies afin de remplacer les populations amérindiennes qui ne survivaient pas aux dures conditions d'esclavage en raison des maladies et du travail harassant. C’est que les populations noires d’Afrique étaient réputées mieux supporter le travail forcé dans le climat éprouvant des Caraïbes et de l'Amérique équatoriale. La France, à l’exemple des autres puissances européennes, n’a pas fait exception et s’est mise aussi à l’esclavage. En Martinique, les Français importèrent leurs premiers esclaves dès 1635 afin de fournir la main-d’oeuvre nécessaire à la culture de la canne à sucre. Toutefois, de 1656 à 1814, Anglais et Français se sont régulièrement disputé la Martinique; ainsi, pendant près de deux siècles, l’île fut tantôt anglaise tantôt française, jusqu’au traité de Paris de 1814 qui céda définitivement la Martinique à la France.

En 1673, le roi Louis XIV autorisa la création de la Compagnie du Sénégal, qui devait conduire des esclaves noirs aux Antilles et à la Guyane française. Cependant, contrairement à la Hollande qui avait organisé la traite des Noirs en faveur du Surinam (plus de 400 000 Africains déportés jusqu’en 1823, année de la suppression de l’esclavage par la Hollande), la France, grâce à la Compagnie de la Guyane, préféra vendre ses cargaisons d’esclaves à Saint-Domingue (aujourd’hui, république d’Haïti et République dominicaine) plutôt que de les envoyer en Guyane française dont le développement économique semblait beaucoup moins important.

De fait, plus de 700 000 esclaves furent déportés aux Antilles françaises entre 1673 et 1789, dont 600 000 juste à Saint-Domingue; les autres furent envoyés en Martinique, en Guadeloupe, à Saint-Christophe (devenu aujourd’hui Saint-Kitts-et-Nevis), etc. En 1710, le nombre des esclaves s’élevait à 21 000 pour l’île de la Martinique. Quelques décennies plus tard, en 1745, la Martinique comptait environ 80 000 habitants dont 65 000 esclaves. Au moment de la suppression de l’esclavage en juin 1848 en Martinique, on dénombrait un peu plus de 72 000 esclaves. On aura intérêt à lire le fameux Code noir, une ordonnance de Louis XIV destinée à réglementer le régime de l’esclavage et précisant les devoirs des maîtres et des esclaves. Ce Code noir, qui resta en vigueur dans toutes les Antilles et en Guyane française jusqu'en 1848 (date de l'abolition définitive de l'esclavage par la France), fut rarement respecté. Bien que ce code ne traitât pas des questions de langue, il dépouillait l’esclave de toute son identité. En effet, après le baptême catholique obligatoire, l'Africain devenait un Nègre et changeait de nom, abandonnant ses habitudes vestimentaires et sa langue, puis était marqué au fer rouge et affecté au travail servile.
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MessageSujet: Re: Histoire suite   Histoire suite EmptyMar 6 Nov - 15:59

3.4 La traite des esclaves

Pendant deux siècles, la Martinique, comme d’ailleurs toutes les autres Antilles, vécut sous le règne de l’esclavage. On sait que ce sont les Espagnols qui avaient commencé à importer des Africains dans leurs colonies afin de remplacer les populations amérindiennes qui ne survivaient pas aux dures conditions d'esclavage en raison des maladies et du travail harassant. C’est que les populations noires d’Afrique étaient réputées mieux supporter le travail forcé dans le climat éprouvant des Caraïbes et de l'Amérique équatoriale. La France, à l’exemple des autres puissances européennes, n’a pas fait exception et s’est mise aussi à l’esclavage. En Martinique, les Français importèrent leurs premiers esclaves dès 1635 afin de fournir la main-d’oeuvre nécessaire à la culture de la canne à sucre. Toutefois, de 1656 à 1814, Anglais et Français se sont régulièrement disputé la Martinique; ainsi, pendant près de deux siècles, l’île fut tantôt anglaise tantôt française, jusqu’au traité de Paris de 1814 qui céda définitivement la Martinique à la France.

En 1673, le roi Louis XIV autorisa la création de la Compagnie du Sénégal, qui devait conduire des esclaves noirs aux Antilles et à la Guyane française. Cependant, contrairement à la Hollande qui avait organisé la traite des Noirs en faveur du Surinam (plus de 400 000 Africains déportés jusqu’en 1823, année de la suppression de l’esclavage par la Hollande), la France, grâce à la Compagnie de la Guyane, préféra vendre ses cargaisons d’esclaves à Saint-Domingue (aujourd’hui, république d’Haïti et République dominicaine) plutôt que de les envoyer en Guyane française dont le développement économique semblait beaucoup moins important.

De fait, plus de 700 000 esclaves furent déportés aux Antilles françaises entre 1673 et 1789, dont 600 000 juste à Saint-Domingue; les autres furent envoyés en Martinique, en Guadeloupe, à Saint-Christophe (devenu aujourd’hui Saint-Kitts-et-Nevis), etc. En 1710, le nombre des esclaves s’élevait à 21 000 pour l’île de la Martinique. Quelques décennies plus tard, en 1745, la Martinique comptait environ 80 000 habitants dont 65 000 esclaves. Au moment de la suppression de l’esclavage en juin 1848 en Martinique, on dénombrait un peu plus de 72 000 esclaves. On aura intérêt à lire le fameux Code noir, une ordonnance de Louis XIV destinée à réglementer le régime de l’esclavage et précisant les devoirs des maîtres et des esclaves. Ce Code noir, qui resta en vigueur dans toutes les Antilles et en Guyane française jusqu'en 1848 (date de l'abolition définitive de l'esclavage par la France), fut rarement respecté. Bien que ce code ne traitât pas des questions de langue, il dépouillait l’esclave de toute son identité. En effet, après le baptême catholique obligatoire, l'Africain devenait un Nègre et changeait de nom, abandonnant ses habitudes vestimentaires et sa langue, puis était marqué au fer rouge et affecté au travail servile.

C’est Victor Schoelcher (1804-1893), alors sous-secrétaire d'État à la Marine chargé des colonies, qui prépara le décret d'abolition de l'esclavage du 27 avril 1848, lequel a été confirmé par la Constitution du 4 novembre 1848. En Martinique, le 23 mai 1848, à la demande du conseil municipal de Saint-Pierre (la capitale de l’époque), le gouverneur de l’île, le général Rostoland, proclama un décret solennel dont les deux premiers articles énonçaient ce qui suit:

Article 1

L'esclavage est aboli à partir de ce jour à la Martinique.

Article 2

Le maintien de l'ordre public est confié au bon esprit des anciens et des nouveaux citoyens français.



Devenu député de la Martinique et de la Guadeloupe, Schoelcher revendiqua aussi l’application du droit commun et même la départementalisation pour les quatre colonies (Martinique, Guadeloupe, Guyane et la Réunion), mais il échoua sur cette question; cent ans plus tard, la Martinique, la Guadeloupe, la Guyane française et la Réunion deviendront des départements français. Bien sûr, au terme de cette douloureuse période, la colonie martiniquaise s’était peuplée massivement de nouveaux arrivants noirs et la langue véhiculaire entre les Noirs était devenue le créole martiniquais. Enfin, c’est vers 1840 seulement que les Noirs furent christianisés par l’Église catholique. Auparavant, les Noirs étaient certes baptisés, mais ensuite laissés à eux-mêmes; d’ailleurs, beaucoup de prêtres possédaient eux-mêmes des esclaves.

Cela dit, l'esclavage continua sous une autre forme lorsque fut imposée le Code de l’indigénat qui correspondrait aujourd'hui à une autre forme déguisée d’esclavage des populations autochtones en les dépouillant de toute leur identité. Grâce aux pratiques discriminatoires imposées par le Code de l'indigénat (en vigueur de 1887 à 1946), les Blancs continuèrent de jouir de privilèges considérables.
3.5 Les nouveaux immigrants

Mais la suppression de l'esclavage ne pouvait que nuire à l'économie de plantation de la Martinique qui pouvait supporter difficilement des coûts de main-d'oeuvre importants. C’est pourquoi, de 1853 à 1985, la France décida d’importer plusieurs milliers de travailleurs immigrants (dénommés «coolies») originaires des comptoirs français de l’Inde. Considérés comme dociles, ces «coolies» venaient travailler aux Antilles pour une durée, en principe, de cinq ans. Beaucoup d’entre eux restèrent sur place à la fin de leur contrat, fondèrent une famille et devinrent bientôt des Martiniquais à part entière, tout en conservant leur religion et leurs habitudes culinaires.

Vers la fin du siècle, un millier de Chinois débarquèrent également dans l'île et, un peu plus tard, d’autres immigrants arrivèrent, cette fois-là, de la Syrie et du Liban. C’est ce qui explique que la population martiniquaise est aujourd’hui formée d’une palette ethnique assez variée, puisqu’on y compte non seulement des Noirs africains (la majorité) et des mulâtres, mais aussi des Indiens, des Chinois et des Syro-Libanais, sans oublier les Blancs-Pays (les «Békés»).

Tous les nouveaux immigrants d’Asie ou du Proche-Orient ont maintenant perdu leur langue d’origine et ont adopté le créole martiniquais comme langue maternelle. Les Blancs «békés» parlent le français mais aussi le créole alors que les Blancs-France (les «Métros») ne parlent que le français. Bien que vivant en relative harmonie, les différents groupes ethniques de la Martinique n'en continuent pas moins de se distinguer et de se méfier les uns des autres selon de subtiles distinctions.
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MessageSujet: Re: Histoire suite   Histoire suite EmptyMar 6 Nov - 16:32

Vous aurez deviné les filles je suis une "zoreille" :moqueur rire: :moqueur rire:

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MessageSujet: Re: Histoire suite   Histoire suite EmptyMar 6 Nov - 16:35

oui soit tu riques de te faire traiter de zoreille sur la route ou de vié blanc en créole par les impolis qui trouvent queles touristes roulent trop lentement sur la route.

Mais attention il faut se méfier car traiter un gendarme sur la route c'est pas poli et puni
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MessageSujet: Re: Histoire suite   Histoire suite EmptyMar 6 Nov - 16:56

Ils peuvent me dire ce qu'ils veulent je ne les écouterai pas mais pour l'instant je n'ai pas été embétée avec ça. a part une fois nous étions allongés sur le sable à l'anse à l'âne, un local "craqué" s'avance vers nous ( nous étions plusieurs métro les uns pas loin des autres et on ne se connaissait pas) et nous dit en nous défiant de quelque chose que je n'ai pas trop vu: " moi les blancs je en les aime pas je vais vous prendre un par un et cous égorgé avec mon coupe-coupe."Je n'ai pas levé les yeux vers lui j'ai fait comme si je en l'entendais pas mais je n'en menais pas large et mon Richard à coté de moi qui dormait ce mec aurait pu me tuer lui il dormait à points fermés. C'est la seule fois, pour l'instant, où j'ai eu peur.

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MessageSujet: Re: Histoire suite   Histoire suite EmptyMar 6 Nov - 17:06

c'était un marginal celui là il y en a plein aux trois ilets
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MessageSujet: Re: Histoire suite   Histoire suite EmptyMar 6 Nov - 18:50

vraiment très interressant
Merci

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MessageSujet: Re: Histoire suite   Histoire suite EmptyMar 6 Nov - 19:12

Oui merci maninou on s'instruit

Soit prudente Nanou j'espère que tu aurait réveillée Mr richard
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