Pompes Funèbres Pompes funèbres Les rites funéraires dans le monde Antillais Les rites funéraires Antillais Les aînés se souviennent. La mort dénommée aussi Bazile quand elle arrive à un moment inconnu de tous sème toujours la consternation dans les familles mais elle est la preuve d'égalité entre les hommes. Autrefois peu de gens mouraient à l'hôpi tal après les appels à l'aide et les rituels...
...mort dénommée aussi Bazile quand elle arrive à un moment inconnu de tous sème toujours la consternation dans les familles mais elle est la preuve d'égalité entre les hommes. Autrefois peu de gens mouraient à l'hôpi tal après les appels à l'aide et les rituels trois coups de corne conque de lam bi tout le voisinage la première émotion passée était à pied d'oeuvre afin...
...consternation dans les familles mais elle est la preuve d'égalité entre les hommes. Autrefois peu de gens mouraient à l'hôpi tal après les appels à l'aide et les rituels trois coups de corne conque de lam bi tout le voisinage la première émotion passée était à pied d'oeuvre afin de por ter leur soutien aux parents du défunt. A cette occasion les rancunes étaient bannies....
...familles mais elle est la preuve d'égalité entre les hommes. Autrefois peu de gens mouraient à l'hôpi tal après les appels à l'aide et les rituels trois coups de corne conque de lam bi tout le voisinage la première émotion passée était à pied d'oeuvre afin de por ter leur soutien aux parents du défunt. A cette occasion les rancunes étaient bannies. En raison du...
...à l'hôpi tal après les appels à l'aide et les rituels trois coups de corne conque de lam bi tout le voisinage la première émotion passée était à pied d'oeuvre afin de por ter leur soutien aux parents du défunt. A cette occasion les rancunes étaient bannies. En raison du manque de moyens de communication des messagers quels que soient le temps et l'heure étaient...
...le voisinage la première émotion passée était à pied d'oeuvre afin de por ter leur soutien aux parents du défunt. A cette occasion les rancunes étaient bannies. En raison du manque de moyens de communication des messagers quels que soient le temps et l'heure étaient dépê chés à pied ou à cheval pour prévenir aussi bien la famille vivante éloignée que tous les gens rencontrés...
...la première émotion passée était à pied d'oeuvre afin de por ter leur soutien aux parents du défunt. A cette occasion les rancunes étaient bannies. En raison du manque de moyens de communication des messagers quels que soient le temps et l'heure étaient dépê chés à pied ou à cheval pour prévenir aussi bien la famille vivante éloignée que tous les gens rencontrés sur leur...
...bien la famille vivante éloignée que tous les gens rencontrés sur leur trajet Kouri Sikilè . Dans les Villes et les Communes les plus aisés faisaient part du décès à l'aide de billets d'enterrement . Pendant ce temps toutes les tâches étaient réparties entre les voisins la tradition vou lant que la famille en soit exemptée. En règle générale les femmes s'affairaient à l'intérieur alors...
...la tradition vou lant que la famille en soit exemptée. En règle générale les femmes s'affairaient à l'intérieur alors que les hommes se partageaient les alentours. Les couturières du coin s'occupaient de l'habillement du mort tandis que d'autres femmes rangeaient la maison couvraient les miroirs de draps blancs et paraient le lit des plus beaux attributs après qu'une planche ait été posée sur le matelas...
...femmes s'affairaient à l'intérieur alors que les hommes se partageaient les alentours. Les couturières du coin s'occupaient de l'habillement du mort tandis que d'autres femmes rangeaient la maison couvraient les miroirs de draps blancs et paraient le lit des plus beaux attributs après qu'une planche ait été posée sur le matelas afin de maintenir le corps bien droit. II était aussi de tradition de faire...
...tandis que d'autres femmes rangeaient la maison couvraient les miroirs de draps blancs et paraient le lit des plus beaux attributs après qu'une planche ait été posée sur le matelas afin de maintenir le corps bien droit. II était aussi de tradition de faire enjamber la dépouille par tous ceux qui avaient peur des morts. La maison et ses abords pouvaient être balayés mais les...
...miroirs de draps blancs et paraient le lit des plus beaux attributs après qu'une planche ait été posée sur le matelas afin de maintenir le corps bien droit. II était aussi de tradition de faire enjamber la dépouille par tous ceux qui avaient peur des morts. La maison et ses abords pouvaient être balayés mais les ordures laissées dans un coin ne devaient être jetées...
...draps blancs et paraient le lit des plus beaux attributs après qu'une planche ait été posée sur le matelas afin de maintenir le corps bien droit. II était aussi de tradition de faire enjamber la dépouille par tous ceux qui avaient peur des morts. La maison et ses abords pouvaient être balayés mais les ordures laissées dans un coin ne devaient être jetées qu'au lende...
...dépouille par tous ceux qui avaient peur des morts. La maison et ses abords pouvaient être balayés mais les ordures laissées dans un coin ne devaient être jetées qu'au lende main de l'enterrement. II fallait aussi pui ser de l'eau dans la mare ou le puits d'à côté. La toilette mortuaire pour sa part était confiée à des Matrones quand le défunt était une femme...
...des morts. La maison et ses abords pouvaient être balayés mais les ordures laissées dans un coin ne devaient être jetées qu'au lende main de l'enterrement. II fallait aussi pui ser de l'eau dans la mare ou le puits d'à côté. La toilette mortuaire pour sa part était confiée à des Matrones quand le défunt était une femme et à des hommes pour leur semblable....
...femmes rangeaient la maison couvraient les miroirs de draps blancs et paraient le lit des plus beaux attributs après qu'une planche ait été posée sur le matelas afin de maintenir le corps bien droit. II était aussi de tradition de faire enjamber la dépouille par tous ceux qui avaient peur des morts. La maison et ses abords pouvaient être balayés mais les ordures laissées dans...
...surtout ceux morts par pendaison ils n'avaient droit à aucune cérémonie. Le prix de I’enterrement était aussi fonction des classes. Chaque commune avait sa maison mor tuaire destinée à recevoir le corps des personnes décédées tragiquement noyade on y déposait aussi les corps revenant de la campagne juste avant l'enterrement. Pour les cérémonies de 1ère et 2ème classe le curé accompagné du chantre et des...
...Le prix de I’enterrement était aussi fonction des classes. Chaque commune avait sa maison mor tuaire destinée à recevoir le corps des personnes décédées tragiquement noyade on y déposait aussi les corps revenant de la campagne juste avant l'enterrement. Pour les cérémonies de 1ère et 2ème classe le curé accompagné du chantre et des cler gés venaient chercher le corps. Le nombre de bannières était...
...déposait aussi les corps revenant de la campagne juste avant l'enterrement. Pour les cérémonies de 1ère et 2ème classe le curé accompagné du chantre et des cler gés venaient chercher le corps. Le nombre de bannières était fonction de la classe de la cérémonie. Ces morts bénéficiaient du son de cloche le glas qui était son né à 5 12 15 18 heures à...
...et trois derniers au départ du cortège précédé par des cavaliers qui s'amusaient à faire trotter leur monture. La famille proche ne devait pas assister à l'enterrement mais la levée du corps strictement réservée aux hommes de la famille puis le cercueil était porté par des jeunes qui se relayaient. II était permis seulement après le départ du cortège de jeter l'eau qui avait été...
...pour sa part était confiée à des Matrones quand le défunt était une femme et à des hommes pour leur semblable. II était ensuite expo sé sur son lit jusqu'à la mise en bière. II fal lait aussi prévoir au cercueil car il n'exis tait pas d'entreprise de Pompes Funèbres. Alors qu'en ville on l'achetait dans les chantiers d'ébénisterie à la campagne tout au contraire...
...de buis les Niches . Des fleurs étaient cueillies dans les jar dins des alentours puis réunies en bou quets ou en couronnes et portés par des volontaires. Juste avant la mise en bière vers 15 heures qui dans les campagnes était annoncée par un coup de corne de lambi toute la famille et les amis don naient au mort un dernier baiser sur le...
...de lam bi tout le voisinage la première émotion passée était à pied d'oeuvre afin de por ter leur soutien aux parents du défunt. A cette occasion les rancunes étaient bannies. En raison du manque de moyens de communication des messagers quels que soient le temps et l'heure étaient dépê chés à pied ou à cheval pour prévenir aussi bien la famille vivante éloignée que...
...les plus aisés faisaient part du décès à l'aide de billets d'enterrement . Pendant ce temps toutes les tâches étaient réparties entre les voisins la tradition vou lant que la famille en soit exemptée. En règle générale les femmes s'affairaient à l'intérieur alors que les hommes se partageaient les alentours. Les couturières du coin s'occupaient de l'habillement du mort tandis que d'autres femmes rangeaient la...
...faisaient part du décès à l'aide de billets d'enterrement . Pendant ce temps toutes les tâches étaient réparties entre les voisins la tradition vou lant que la famille en soit exemptée. En règle générale les femmes s'affairaient à l'intérieur alors que les hommes se partageaient les alentours.